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L’arrivée d’Internet, il y a quelques temps, a généré un avant et un après dans les différentes civilisations, principalement parce qu’elle a non fermé la direction à un nouveau moyen de communication entre des utilisateurs qui n’avaient pas toujours besoin d’être dans la même pièce. Par exemple, avec des e-mails, des pages web Web ou des cercles d’entraides. L’interaction entre les personnes a commencé à gagner, petit à petit, de plus en plus de force, éliminant – entre autres choses choses – différents limites culturelles ou linguistiques. Une véritable bataille pour le pouvoir qui a motivé de nombreuses avancées modernes. Parmi eux, les États-Unis ont créé l’ Advanced Research Projects Agency ( ARPA ) qui, une décennie après, a posé les pylones de ce que l’on appellera Internet, puisque son réseau ARPANET permettait l’échange d’actualités entre institutions. Et comment pourrait-il en être autrement, dans l’histoire précédent, des réseaux sociaux ont également émergé, dont la popularité se situe fondamentalement dans la possibilité qu’ils offrent aux utilisateurs de communiquer avec les autres, de manière entièrement instantanée, à travers des espaces virtuels, peu importe où ils se trouvent sur la planète.

la présence de ces nouveaux « influenceurs » dans l’espace public s’explique simplement par la popularité des diffusions de téléréalité et par l’intérêt qu’ont monsieur et madame Tout-le-monde à continuer qu’il faut effectuer les participants en dehors du petit écran, après leurs aventures. Ayant centralisé l’intérêt de dizaines et souvent de dizaines de dizaines de milliers de personnes sur leur profil en ligne, ces « toutes nouvelles vedettes » peuvent ensuite utiliser leurs plateformes de réseaux sociaux pour interagir avec une grand communauté. Au-delà de l’interaction organique, l’influenceur peut choisir de monétiser son nouveau pouvoir, soit son influence, auprès du public qui le suit en acceptant des collaborations rémunérées pour développer du contenu ou passer certains messages publicitaires. il y a évidemment plusieurs types d’influenceurs, dont la pertinence varie clairement selon de nombreux critères : leur métier d’origine, l’originalité dans la conception de leur contenu, le ton et le rythme utilisés, la fréquence des publications, les types de conversation entretenue avec la communauté, la sélection des collaborations selon les applications, les valeurs et l’expertise de l’influenceur et de sa communauté, etc. Après les déboires de certains, c’est l’occasion de se questionner. Comment bien sélectionner ce qu’on consomme ? Pourquoi stimuler certains contenus ? Et surtout de choisir : à qui souhaitons-nous donner la parole sur nos plateformes sociales ? Qu’on les aime ou non, les réseaux sociaux sont là pour de bon et le concept de l’influence aussi, alors participons-y positivement et activement pour en faire un lieu enrichissant, passionnant et bienveillant pour tous.

Pour toutes campagnes de communication et particulièrement lors d’une campagne d’influence digitale, il est important de définir avec précision les personas que l’on souhaite toucher. pensez que l’époque du marketing automatique est aujourd’hui résolue ! Le marketing et la communication se concentrent actuellement sur des segments largement plus précis et plus personnels avec un focus tout particulier sur les « social media » ( les réseaux sociaux ) donc. Alors que les influenceurs digitaux voient leur rôle grandir et leur nombre de followers ( nombre d’abonnés ) augmenter énormément, les marques et annonceurs doivent identifier leur audience et communauté afin de communiquer à leur cible un message adapté et individualisé. Il est ainsi nécessaire de sélectionner les influenceurs dont les centres d’intérêts et thèmes de publication se rapprochent le plus du secteur de votre marque. Alors que 92% des prospects sont accessibles aux recommandations de leurs pairs ( via des posts sponsorisés ou des hashtags… ), les influenceurs apparaissent comme de véritables vecteurs de communication. Parce que ce sont des références dans leur secteur de choix ( beauté, technique, gaming, etc… ), leurs fans leur accordent une grande confiance. Pour reconnaître les influenceurs-clés de votre secteur et vous épauler à faire le bon choix d’influenceur, il est recommandé de chercher des experts du milieu. Agences mais surtout plateformes, ils sauront vous guider et vous guider vers des Key Opinion Leaders pertinents. si il s’agit d’augmenter le trafic de votre site ( par l’intermédiaire du seo ), de proposer une communication 2.0 basée sur du content marketing ou de l’inbound, ces ambassadeurs/leaders d’opinion/célébrités peuvent faire la différence dans votre influence sur les réseaux sociaux et votre ligne éditoriale en global.

il existe peu d’estimations fiables de la dimension de l’industrie des influenceurs. L’une d’entre elles, effectuée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus tôt qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 000 000 000 de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie semble lui avoir donné un coup de fouet, puisque encore plus de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie du temps. L’écosystème des influenceurs remet en question les concepts traditionnels de la gestion des marques haut de gamme. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et coûteuses. Un groupe exclusif d’actrices claires pourvues de pommettes de la bonne forme était censé la constance, ainsi que l’opulence. Le même sourire sur la même photo de la même star hollywoodienne devait inciter les piétons à acheter un produit pendant beaucoup années. Julia Roberts et Natalie Portman sont chacunes depuis une décennie les visages des senteurs La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne disent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en centaines de milliers de dollars. Selon un rapport, le budget dépensé par LVMH pour la totalité de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 centaines de milliers de dollars” l’an dernier.

Si vous utilisez les réseaux sociaux uniquement pour pousser de la publicité, de la promotion, des placements d’objets ou autres vous ne retirerez pas une grande efficacité des réseaux sociaux. Cela semble logique par rapport au base de base : tchater avec sa communauté. Des publications centrées uniquement sur de la pub / promo vont désintéresser votre audience et vous éloigner d’elle. Cela n’empêche pas de mettre en valeur ses produits et ses qualités mais dans un contexte différent de la publicité, avec un angle informatif, d’échange. Pour faire de la publicité il existe des espaces destinés comme Facebook ads ou Instagram ads. Ils aident à mettre en avant ses produits et son expérience avec des annonces personnalisées et sponsorisées. Si vous comparez Instagram et Linkedin vous serez dans deux mondes différents. En effet Instagram a un audimat vaste, il est plutôt orienté B2C, il est basé sur l’image ( bien qu’il ne faille pas négliger le contenu ), tandis que Linkedin a un audimat plus ciblée “professionnels”, il est orienté b2b et nécessite des contenus plus textuels pour communiquer. Certains réseaux peuvent d’avoir des utilisations plutôt passives ou ciblées notamment Twitter, souvent utilisé pour de l’information, Linkedin très orienté b2b, Instagram sur lequel on va souvent suivre des marques, Pinterest pour chercher des visuels ou de l’inspiration, Youtube pour des films et de la vidéo, etc.

Certains nouveaux coffrets, comme les REELS sur Instagram, furent ajoutés pour concurrencer TikTok et donnent la possibilité de créer un contenu viral. Attention, pour que votre contenu devienne viral ou qu’il ait simplement une parfaite portée organique, il faut qu’il soit de qualité. Ce qui est véritablement important quand vous investissez du revenu publicitaire dans la gestion de vos social medias, c’est de pouvoir mesurer votre retour sur investissement. N’hésitez pas à prendre le temps de paramétrer correctement l’accompagnement des conversions afin d’être en mesure de savoir exactement combien vous a dévoilé la publicité. Vous n’avez pas le temps de laisser sur les social medias de façon constante. Les plateformes sociales ( et vos abonnés ) aiment suivre des comptes dont les contenus sont actualisé régulièrement. il faut donc choisir une fréquence ( comprise entre 1 fois par semaine et 3 fois journalier selon votre secteur d’activité et l’attrait de votre marque ) et ne pas le dépasser. Si vous publiez tous les jours pendant 1 mois, que vous arrêtez pendant 2 mois etc. Cela fera plus de mal que de bien à votre marque. Vous n’êtes pas en mesure de fournir du contenu de qualité. Si votre contenu est un contenu de basse qualité, je vous conseille particulièrement de ne rien publier et de donner le job à un professionnel qui connait les codes des différents réseaux et qui pourra produire du contenu qui va attirer les internautes. Voici quelques exemples de contenu de basse qualité.

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