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La psycho est une connaissance qui entraîne des nombreux domaines d’application. En général, elle étudie l’irritabilité, les émotions et la notion. Dans la plupart des régions, les thérapeutes conduisent les gens dans le but de produire une meilleure qualité de vie. Mais qui les guide pratique pour eux ? Suivent-ils eux aussi une thérapie ? La psychologie est une profession qui s’avère être combinée à un nombre élevé de mythes. Les thérapeutes sont-ils sulidés ? Comment les thérapeutes peuvent-ils avoir des problèmes ? Seules les personnes qui ne sont effectivement pas bien dans leur tête vont chez le psychologue. On connaît même la time period que plusieurs professionnels de la question ont entendue sous prétexte que un psaume à une critique : « par contre vous êtes un psychologue ».L’un des règles fondamentaux est que les externes, les immixtion avec d’autres personnes et les des fêtes néfastes ne sont pas gérants de nos mauvaises humeurs et de notre problème dans la plupart des cas. En fait, les spécialistes de la TCC considèrent que c’est tout l’inverse. En fait, ce sont nos propres réactions aux des festivités, nos « plaisirs » des événements qui sont sous notre contrôle – et qui terminent par affliger notre qualité .une multitude de enquêtes effectuées depuis quelques dizaines d’années, et regroupées en synthèses d’études et en méta-analyses, ont démontré formellement que la thérapie peut collaborer à mener avec succès des nombreux problèmes intellectuels par exemple la dépression, le trouble panique, l’anxiété, les troubles de l’alimentation et plusieurs soucis de la identité. Qui plus est, le jonction de ces études a permis de terminer que toute psychothérapie bien dirigée, quelque soit la technique particulière employée, a de fortes possibilités de fournir de meilleurs résultats. Cette conjecture est présentée pour la première fois en 1976 dans une étude intitulée Comparative studies of psychotherapies : happens to be it accurate that ‘ everybody ha won and all must have prizes ‘ ? ( Études comparatives des psychothérapies : est-ce la vérité que « tout le monde a gagné et que chacun doit acquérir un prix » ? )Les thérapeutes rendent une offre aux autres, mais cela ne veut dire pas qu’il faille qu’ils s’oublient. C’est pourquoi les thérapeutes suivent également une psychothérapie, en qui peuvent jouir des atouts qui en découlent. D’autre part, les psychologues peuvent de temps à autre être considérés par d’autres parce que des super-héros. On peut sublimer grâce au collaboration qu’ils pourraient tout à fait apporter tout à l’heure de disette, mais nous ne devons pas oublier que l’idéalisation est un apparat de défense, qui engendre une image déformée de l’autre.La durée de votre psychothérapie dépend des conditions, étant donné que votre niveau de stress, votre histoire ou un diagnostique de maladie mentale. ‘ dans le cas où certains types de psychothérapie n’ont pas de durée prédéterminée, d’autres peuvent concentrer énième problème prompt pendant d’une période relativement courte ‘, ajoute le dr Dalack. Énormément de personne ont une préjugé de la manière dont se déroule une séance chez le médecin, fondée uniquement sur ce qu’ils ont lu ou vu à la télévision ou au ciné. Ils suggèrent notamment qu’il faut forcément s’allonger sur un cosy, alors qu’un garçon aux cheveux avec des spectacles couche vos technique les plus intimes sur un porte-bloc. Le plus souvent, la réalité ne s’accorde pas du tout avec cette image.Ces démarches ont la possibilité suivre très loin du manifestation le plus evident : on commence une psychothérapie à cause d’un ennui au travail et on se rencontre à mener un manque sentimental. Certains des outils habituels des thérapies de psychanalyse sont l’association verbale dégagé, l’analyse des rêves, le dressage d’un journal personnel ainsi que la prise en compte des phénomènes de transfert, ce qui signifie la identification de envies ou de inconscientes du client vers son guérisseur. Certaines difficultés mentals sont relatives, entre autres, à des pensées ou à des comportements inadéquats qu’on a appris ou adoptés – fréquemment à son corps défendant. Ils ont la possibilité s’apparenter à des réactions « incontrôlables » qui surgissent automatiquement en quelques conditions ( dès que je vois un gardien, je me sens fautif; si je n’ai pas d’amoureux, je ne vaux plus rien, etc. ) Les thérapies cognitives et comportementales ( TCC ) délivrent d’observer objectivement et d’analyser avec équanimité ces comportements et ces pensées, d’apprendre de nouveaux comportements et de suppléer les idées ou les émotions non désirées par d’autres qui sont mieux adaptées. On cherche des soucis concrets à résoudre et une acte thérapeutique est implantée en commun ( déconditionnement progressif, dépuration des mécanismes de protection, changes des croyances, etc. ).
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