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S’occuper du sol, c’est le travail même du jardinier avant même de semer. Il s’agit avant tout d’en apprendre plus sur la composition du sol afin de l’enrichir si nécessaire : le sol sera argileux, calcaire, sableux ou encore humifère. Les besoins diffèrent en fonction de sa nature. En cas de doute, vous pouvez faire mesurer un échantillon de terre auprès d’un laboratoire d’analyses. le plus simple serait au final de se rapprocher de la composition suivante : 60 % sable, vingt pour cent argile, 10 % calcaire et 10 % humus. En effet la terre doit rester de bonne qualité pour être fertile, et il sera judicieux de l’enrichir en y procurant ponctuellement du compost, du fumier, de la tourbe ou du terreau. La quantité nécessaire à l’amendement dépendra correctement de la nature du sol et de ses futures plantations, certaines étant plus que certains. Les bases du jardinage passent de même par le sol, mais enrichir la terre ne suffit pas, vous devrez de même laver le jardin, l’aérer, le bêcher mais sans pour autant retourner la terre afin de ne pas la déséquilibrer. Après avoir ôté la mauvaise herbe, c’est une phase importante pour faciliter la circulation de l’eau dans la terre. la meilleure solution sera de le faire deux fois, ainsi la terre sera mieux amendée, drainée, plus souple et les plants devront prendre alors plus aisément racine. Entre chaque étape, laissez un temps de repos à la terre.

La saison du jardinage bat son plein. Maintes de justifications vous poussent à jardiner même en ville et à créer un petite potager sur le balcon. Le fait de cultiver ses propres tomates, concombres et courgettes est assez motivant et récompensant. Quand on plante, on doit savoir comment entretenir et nous sommes sûrs que rien ne peut vous faire rechigner au projet d’un beau jardin ou d’un riche potager. Ni le mildiou sur les tomates ni leurs feuilles jaunes ! À chaque problème sa solution ! Les recettes de crudités de concombres sont si tentantes que vous avez appris comment cueillir ces légumes juteux en boucle tout la période estivale. toute cette transformation vaut la peine mais du côté santé, les avantages du jardinage ne sont pas en ce qui concerne. Certaines conditions médicales et handicaps physiques peuvent contenir ou empêcher âgées de participer au jardinage. Cependant, avec une planification et quelques changements, vous pouvez réaliser zone danger, accessible et agréable. Que ce soit un jardin vertical 6 produit de palettes ou des lits surélevés pour les fleurs, on a toujours le choix. premièrement lieu, le jardinage est bénéfique pour âgées car il est une forme d’entrainement agréable qui augmente les niveaux d’activité physique, améliore la mobilité et la adaptabilité en encourageant l’utilisation de toutes les habiletés motrices. Cela perfectionne l’endurance et la force.

L’horticulture est intéressant pour la santé. Le constat est intuitif et la preuve scientifique est faite. Nous en avons tous fait l’expérience, que ce soit plus ou moins consciemment. L’effet intéressant le plus évident est l’impact concret sur notre physique. Le jardinage est une activité d’intensité faible à moyenne qui nous garde présents, sans toutefois nous essouffler. Sa nature d’intensité faible nous permet de la pratiquer pendant de nombreuses minutes. Passer 2 heures à jardiner se rapporte à proposer notre corps à une panoplie de déplacements et contorsions, et ce, en continu. C’en est presque une séance de yoga ! Un autre effet perçu est le sentiment d’apaisement pendant et après l’activité horticole. Pour les personnes qui livrent une bataille de tous les jours au stress, il a été démontré que le jardinage aide à minimiser les hormones liées au stress et à reussir à garder le sentiment de bonne humeur plus instantanément plus longtemps que la lecture de loisir. La planification du jardin fait appel à plusieurs processus cognitifs en plus de stimuler notre créativité. La recherche de la bonne plante pour notre contexte ( sol, eau, ensoleillement, compagnonnage ) occupe notre esprit, tout comme ces mille et une petites attentions que nous avons quand nous entretenons nos plantes. D’associer autant de stimulations psychologiques à des déplacements physiques doux devient très adoucissant pour les esprits surchargés. Si vous rêvez d’un jardin unique et original et que votre créativité semble en hibernation, une petite balade à la pépinière ou dans nos serres suffira pour vous inspirer.

Pour démarrer un potager on commence par déterminer son emplacement. La terre cultivée se doit d’être fertile, non polluée et l’exposition au soleil favorable pour la croissance de vos légumes et autres plantes du potager ( aromatiques etc… ). Ce premier article vous apportera une première piste pour déterminer le bon emplacement ainsi que tout ce qu’il faut savoir pour préparer une zone de culture. Vous aurez aussi un premier exemple de petit potager. N’hésitez pas à voir en parallèle ce lexique qui dévoile les termes du jardinier. Le potager c’est aussi du désherbage, quoique nous évoquerons comment le réduire en cultivant des fleurs que l’on nomme des engrais verts et en pratiquant le paillage ( ou mulching ). Dans le premier article dans les paragraphes suivants je présente différents outils dont l’excellente ratissoire provençale. Dans le deuxième je présente par ailleurs après différentes méthodes de désherber mécaniquement, le paillage. C’est un point clé en jardinage bio, et pas seulement pour réduire le désherbage mais également pour entretenir le sol de l’érosion, nourrir la faune etc…Semer ses graines est une étape nécessaire lorsqu’on jardine. Aujourd’hui, il est très attirant obtenir des petits plants à repiquer directement en pots ou au potager. Mais c’est malheureusement se limiter à quelques variétés sélectionnées par les jardineries, pépiniéristes ou clients sur le marché. Le semis offre la possibilité d’accéder à un nombre très conséquent de variétés que vous ne obtiendrez pas, ou peu, sur les étals du marché et encore moins en supermarché. Il ne faut donc pas hésiter à planter, essayer, recommencer et découvrir notre belle biodiversité alimentaire ! C’est une chance que nous avons !

Nous savons tous que pour pousser, les plantations ont besoin de nutriments. Elles les puisent le plus souvent en terre. Mais vous avez aussi la possibilité de le leur fournir. L’un des éléments les plus importants pour ça est le terreau. Pour éviter tout risque, il faut choisir le terreau qui correspond le mieux à la race de la plante. Il doit rester conforme au bocal, au potager et à la terre utilisée pour recueillir la plante. Que vos fleurs soient en pleine terre ou sur des étagères solidement fixées avec des tirefonds de qualité supérieur, le terreau est un indispensable pour une bonne croissance. Le pire qui puisse arriver en jardinerie est de planter ses fleurs trop tôt ou trop tard. Renseignez-vous donc sur les dernières dates de givre inscrites dans votre zone. C’est une précaution à prendre pour ne pas tuer involontairement vos plantes. Il est aussi crucial de savoir la date de givre pour récolter les plantes dans le bon timing ou leur offrir une meilleure protection. Le but est d’éviter qu’à la fin de l’automne la basse température n’endommage les plantations. Un bon jardinier entretient régulièrement ses plantes. Elles sont comme des enfants qui doivent être chouchoutés. Votre mission est de les arroser comme il le faut, de les tailler au moment venu, et de les protéger de la sécheresse. Car la lumière joue important dans le processus de la photosynthèse, mais elle peut facilement mettre en péril la plante lorsqu’elle est trop exposée sous le soleil. il faut aussi veiller à enlever la plante des mauvaises herbes et retirer les feuilles fanées.

apprenez à reconnaitre les espèces les plus habituelles, sera à terme un gain de temps. Si elles s’installent c’est car le sol est à bâtir. Celles à extraire sont notamment le chiendent, liseron, armoise, oxalis, sans oublier les épines et chardons avec une bèche afin d’extraire leurs racines. Les annuelles s’arrachent facilement à la main ou avec un sarcloir et peuvent servir au compost, être enfouies dans le sol à condition qu’elles n’ont pas grenées où être brûlées. De nombreux remèdes naturels existent pour en venir à bout : la cendre de bois, purin d’orties ou d’Angélique, paillage, eau bouillante ou de cuisson des pommes de terre, huile importante de basilic, vinaigre blanc, sel iodé et bicarbonate de soude. Mais toutes ne sont pas enlevées ! Certaines adventices préservent la biodiversité et sont nécessaires au sol ( rumex, trèfle ), aux animaux et pollinisateurs ( pâquerette, bardane, graines ). D’autres peuvent être utilisé pour des préparations pour la forme, telles que l’ortie, sauge, bouillon blanc et chélidoine. Produire son compost naturel est un excellent moyen de recycler les déchets du jardin et de cuisine pour les transformer en engrais organique. Il sera votre meilleur atout pour la forme de vos plantations et de vos arbres ! Il perfectionne l’aération du sol et facilite la rétention de l’eau et des substances nutritives. Le compostage est un processus lent qui demande de la patience mais la présence de vers de terre dans les déchets de terre accélère la décomposition et améliore la qualité du compost. Installez- le en situation abritée et ensoleillée, idéalement entre 20° C et 24° C. On peut y mettre quelconque type de détritus végétal, sauf adventices vivaces, tiges ligneuses ( à part si broyées ) et du fumier animal sauf déjections canines ou félines. Les feuilles mortes peuvent être à tous moments recyclées pour faire du terreau ou du compost. En cuisine, on extrait les épluchures de fruits ( sauf les agrumes qui se décomposent qu’à partir de 60°C ), de légumes, marc de café, coquilles d’oeufs, papier absorbant, carton… Mais pas de pain dans le compost car il est trop pleine d’ levure, ni pâtisseries !

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